L'employé s'engage par contrat à veiller à ce qu'il arrive au lieu de travail à temps. Ceci est aussi valable si son vol pour rentrer des vacances est annulé ou retardé. Donc tout à fait d'après le titre: celui qui ne travaille pas, ne reçoit pas d'argent.
La seule exception: l'employé est enlisé en voage d'affaires. En effet, dans ce cas, l'employeur doit assumer la perte de travail.
Des jours supplémentaires de vacances
À la mi-avril 2010, le volcan islandais Eyjafjallajökull est entré en éruption. En conséquence, tout le trafic aérien en Europe a été arrêté, les avions sont restés par terre. Et de nombreux touristes ont été enlisés en vacances. Le fait que ces jours supplémentaires de vacances contre leur gré signifient une perte de travail sans salaire peut cependant devenir problématique dans l'un ou l'autre cas.
Parlez à votre chef
De nombreux employeurs se montrent cependant prêts à negocier dans la situation actuelle. Après tout, l'employé est empêché de rentrer par un cas de force majeure, par un phénomène naturel puissant et unique. Ainsi, on peut discuter avec le chef s'il est possible de compenser les heures perdues avec des eures supplémentaires ou de faire la reprise de jours de vacances. Si vous avez cependant un chef qui n'est pas prêt à négocier, vous devrez vous accomoder d'une perte de salaire.
L'employé doit – comme dans d'autres situations quand il ne peut pas travailler – essayer d'informer l'employeur de son absence assez tôt. Il ne suffit pas de supposer tout simplement que le chef a certainement été mis au courant de l'interdiction de vol et compris qu'un employé sera absent le lundi.
Justificatifs écrits
L'employé doit aussi être soucieux d'apporter des justificatifs qui confirment que ce n'était pas de sa faute s'il a été absent du lieu de travai. Probablement, l'organisateur de voyages délivrera sans problèmes un document qui consigne cela.
Toutefois, on ne doit pas craindre la perte du poste de travail à cause de cette situation. Une éruption volcanique, comme une grippe, n'est pas une faute personnelle, après tout. L'employeur ne peut donc pas prononcer de licenciement. Pourtant, les heures de travail perdues sont quand même à la charge de l'employé.
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